Update:Dans les revêtements à base d'eau, qui additifs de revêtement peut éliminer le cratère?
La mouilla...
La mouillabilité du revêtement sur le substrat est un facteur important qui détermine la qualité du revêtement. Comment améliorer la mouillabilité lors de l'application ? Quel additif convient à un problème particulier ? Quel est le mécanisme derrière cela? On nous pose souvent ces questions et des questions similaires, et elles reflètent à quel point la question du mouillage est considérée par les fabricants de peinture.
Sans surprise, dans le processus d'application ou de séchage, si le mouillage n'est pas suffisant, alors des défauts peuvent être attendus, par exemple, il est impossible de former un film de revêtement uniforme et étanche à l'air.
Aucune des questions ci-dessus n'a de réponses ; chaque question est considérée individuellement. Une méthode plus détaillée nécessite de prendre en compte à la fois la surface du matériau et le film de revêtement. La fonction de la peinture est de combiner correctement la surface du matériau avec la peinture. Le phénomène de mouillage ne se produit qu'à une interface. Les quelques molécules entre le substrat et le polymère déterminent si le matériau est correctement protégé et si le film de revêtement présente des défauts. Le succès ou l'échec des fabricants de peinture et des utilisateurs de peinture dépend de ces quelques éléments.
La tension interfaciale du liquide à l'interface air est appelée tension superficielle.
C'est l'énergie nécessaire pour amener une particule élémentaire du liquide à l'interface air. La surface du liquide est agrandie et la force d'attraction agit entre les molécules du liquide. A l'intérieur du liquide, ces forces s'annulent car elles agissent de concert dans toutes les directions. A l'interface, ces forces sont dirigées vers l'intérieur du liquide ; le liquide essaie de réduire sa surface. Les liquides utilisent tous des graphismes idéaux, car pour un volume spécifique, il s'agit de la surface ou de la zone d'interface du fond. D'une manière générale, c'est la surface qui agit sur la surface (tension interfaciale).
Le travail nécessaire pour étendre une zone d'interface A d'une unité est appelé énergie d'interface W. Il est proportionnel à la taille de l'unité supplémentaire et peut être exprimé par une formule différentielle : Y=DW/DA le quotient Y est défini comme la tension superficielle de l'interface. Le symbole o est également utilisé dans le cas d'une interface liquide/air. Sa taille est l'énergie surfacique (j/m2), qui est le travail nécessaire pour obtenir une nouvelle surface. L'unité sl de tension superficielle est N/M.
Les phases liquides étant déformables, leur tension superficielle peut être directement mesurée. La tension superficielle du solvant courbe utilisé pour le revêtement varie de 14 à 73 nm/m. Lorsque la tension superficielle de l'eau pure est de 73 nm/m, le solvant aliphatique faiblement volatil montre une valeur faible. La tension superficielle d'un type de revêtement dépend non seulement du solvant utilisé, mais aussi d'autres ingrédients. Néanmoins, la tension superficielle reste un paramètre important3